Vous trouverez ici les correctifs établis pas les Giménologues après la sortie de la première édition des "Fils de la nuit". Ca arrive aux meilleurs !
Errata de la première édition
Les corrections qui suivent sont intégrées dans la seconde édition, disponible en juillet 2006.
p. 5 : virgule après 514.
p. 7 : chapitre OFFENSIVE (au lieu d’OFFERNINE).
p. 10, note : Corriente (sans s final).
pp. 30 & 31 : Remplacer Incarnación par Encarnación (2 occurrences à chaque page)
p. 44, note : la Madre (ital.).
p. 50, note *** : Cf. (manque le point)
p. 145, note : Le récit d’Antoine retombe ici sur ses pieds : nous sommes maintenant à la fin novembre 1936.
p. 149, note : Peut-être calle del Francolí (cf. p. 331), bien qu’elle ne donne pas sur la Diagonal.
p. 170 : OFFENSIVE
pp. 171 & 173, titre courant : OFFENSIVE
p. 181, note : chronologique.
p. 223 : Ce récit rencontre celui de Jesús Salillas Artigas, un habitant de Pina qui, quelques mois avant sa mort en décembre 2005, selon Jesús Inglada, le rédacteur de ses souvenirs,...
p. 232, note 10, 2ème paragraphe : contrepoint aux Jeux de Berlin.
p. 233, citation : à la moitié de ce qu’elles avaient été...
p. 237, 1er paragraphe : En août 1936, ledit groupe comprendra de vingt à soixante personnes...
citation : ... milices confédérales. (Manfredonia, 1986, pp. 44-45.)
p. 242 : Nous n’avons pas réussi à identifier avec certitude Marthe ; sans doute est-elle Juliette Baudart.
p. 242, note 15 : Après avoir participé à quelques engagements (avance sur Osera, occupation de Pina, coup de main sur Gelsa), le trio Berthomieux
p. 243 : la colonne Ortiz-Ascaso [Ortiz en réalité], sur la rive droite.
p. 249, 13ème ligne : pour la comarca (ital.)
p. 251, 2ème ligne : Solidaridad Obrera
p. 253, 8ème ligne : Georges
p. 267, juste avant dernière citation : comme le précise cet extrait d’un courrier aux auteurs du 28 septembre 2005 de Miguel Amorós :
p. 270, 3ème paragraphe : L’idée provint, semble-t-il, du gouvernement de Madrid :
p. 273, en haut : afin de s’affranchir de la tutelle du gouvernement de Madrid.
p. 275, 6ème ligne : sur sept kilomètres de long.
p. 276, avant-dernier paragraphe : lors de l’attaque de Farlete » [cf. annexe IV, p. 535].
p. 281, 3ème paragraphe : Leurs écrits les plus incisifs, comme ceux de Lucía Sánchez Saornil, ne faisaient que se gausser des « mariages libertaires »
Renvoi à la ligne : Les Mujeres Libres ne protestèrent pas quand les miliciennes furent expulsées du front à partir d’octobre 1936 :
p. 283, dernière citation : demande [sic] à Ridel de retourner
p. 294, dernier paragraphe : Georges Sossenko, ce jeune Français
p. 303, 3ème paragraphe : souvenirs de Georges Sossenko
p. 306, 5ème ligne : les pistoleros du « Libre » (ital.)
p. 322, 2ème ligne : 12 janvier [Pina]. On nous a assigné
fin citation : J’ai fait la connaissance d’Henrique [sic], un garçon gai et très intelligent. On m’a demandé mon nom, d’où je venais. Quand j’ai dit que j’étais suizo, un vieux campesino, qui ne sait probablement ni lire ni écrire, s’est exclamé tout heureux : « Mais c’est le pays d’Henrique [sic] Pestalozzi, l’ami de Francisco Ferrer ! »
p. 326, 2ème citation : les JJ. LL. [Jeunesses libertaires]. (manque le point)
p. 327, dernier paragraphe : pour Barcelone, le 11 janvier, comme le disait Gmür
p. 337, 9ème ligne : Domingo Ascaso intervient :
p. 339, note 47, 2ème paragraphe : des représentants des colonnes CNT, UGT-PSUC, POUM et de militaires républicains,
p. 349, 7ème ligne : sa charge de secrétaire national de la CNT, s’y oppose
p. 352, fin 2ème paragraphe : Ce dernier exposera d’ailleurs lui-même dans son Eco de los pasos tous les ingrédients
p. 358, 2ème ligne : Dans le même sens, le journaliste argentin José Gabriel, dans son La vida y la muerte en Aragón, publié en 1938, écrit :
p. 373, 9ème l ligne : Aurelio Fernández-constate (ôter le trait d’union)
milieu page : Le 13 janvier, Santillán signale : (ajouter virgule)
p. 378, fin 1er paragraphe : les cinq cents hommes de la colonne Durruti revenus de Madrid.
p. 390, début citation : Dionisio Eroles
3ème paragraphe : Le 2 mai se tient le second rassemblement public des Amigos de Durruti au théâtre Goya de Barcelone :
Compte tenu de la situation envenimée par de nombreuses provocations, les Amigos de Durruti pronostiquèrent une agression imminente contre la classe ouvrière, une agression qui se tramait, selon eux, dans les « instances officielles, là où se trouvent les représentants des forces prétendument antifascistes ». (Schafranek & Wögerbauer, Nous, « Agents provocateurs et irresponsables », Esquisse d’une histoire des Amigos de Durruti, Barcelone, 1986.)
À l’instar de Manuel Escorza, du service des Investigations anarchistes, beaucoup s’attendent donc à un coup de force... (la citation remplace l’ancienne)
p. 391, 3ème paragraphe : ce qu’il obtient parfois à grand-peine
p. 399, 4ème ligne : caserne Karl-Marx (manque trait d’union)
p. 411, note 69 : La Compagnie internationale, rebaptisée Bataillon international (cf. p. 383), quitte Barcelone le 7 juin,
p. 417, dernière ligne : blessé une troisième fois devant Saragosse.
p. 439, 3ème paragraphe : c’est Manuel Mascarell, homme de confiance de Marianet, qui le remplace
Mariano R. Vásquez
p. 450, dernière ligne : Ligue italienne
p. 457, 1ère citation : Bueno, en tant que pistoler, avait participé (ital.)
pp. 460-461 : [Devant la caserne d’Atarazanas,] un groupe composé d’Ascaso, García Oliver, Ortiz, Vivancos, Lucio Gómez, Justo Bueno, Barón, etc. s’était lancé dans une course contre la mort qui les conduisit en zigzags jusqu’aux stands des bouquinistes [du centre des Ramblas]... (Paz, Paradigma de una Revolución, Toulouse, Ediciones AIT, 1967. Réédition Flor del viento, Barcelone, 2005.) (nouvelle traduction de ce passage)
p. 462, note : Cf. Carpena, 2000
p. 478, début 2ème citation : pour une durée de deux mois, jusqu’à février 1944],
p. 479, dernier paragraphe : pour qu’on lui indiquât qui devait disposer
p. 485, 8ème ligne : d’André Colomer, rédacteur du Libertaire (ajouter virgule)
p. 491, 4 ligne avant fin citation : restaient farouchement accrochés (enlever le s de farouchements)
p. 493, note : (voir la photo page suivante), et
p. 494, 4ème l ligne : adjoint de la commune d’Avellaneda, Eloy Prieto, quitte le commissariat pour aller dîner
p. 496, milieu page : Els gàngsters de Barcelona
p. 501, 10ème ligne : supprimer virgule après Métallurgie
p. 506, titre : ajouter Paolo après Pietro
p. 513, 6ème ligne : (cf. les notes nos 3, 4, 6 et 27) (manque le s pour numéros)
p. 543, 20 novembre : Mort de Durruti à Madrid vers 4 heures. Ricardo Sanz (point à la place de la virgule)
p. 544, 15 août : Uribarry
p. 548, Jacquier : Simone Weil, (ôter le second l à Weill)
p. 549, note : Une édition augmentée vient de paraître aux éditions Libertaires.
p. 554, DÉNIKINE : DENIKINE
p. 556 : PABLO (voir VAGLIASINDI PIETRO) : ajouter PAOLO après PIETRO
p. 557, QUINTANA : QUINTANA, 476 (ôter 464, 466)
p. 558, URIBARRY : URIBARRY, 270, 544
WEIL : page 284 (nombre tronqué)
VAGLIASINDI PIETRO : ajouter PAOLO après PIETRO
p. 559 : 4ème ligne : 335 et 348
Par ailleurs, afin de rendre plus pratique la lecture de l’appareil critique, nous avons modifié les titres courants de la section des notes, comme suit :
p. 219 : NOTES DU CHAPITRE « THÉRÈSE »
pp. 221-227 : NOTES DU CHAPITRE « PINA DE EBRO »
pp. 229 et 231 : NOTES DU CHAPITRE « LA MADRE »
pp. 233-245 : NOTES DU CHAPITRE « BERTHOMIEU ET LES AUTRES »
pp. 247-249 : NOTES DU CHAPITRE « LA COLLECTIVITÉ »
p. 251 : NOTES DU CHAPITRE « DE L’AMOUR ET DU MARIAGE »
pp. 253-273 : NOTES DU CHAPITRE « LOS GORROS NEGROS »
p. 275 : NOTES DU CHAPITRE « FARLETE »
pp. 277-279 : NOTES DU CHAPITRE « MARÍA »
p. 281 : NOTES DU CHAPITRE « MADELEINE »
p. 283 : NOTES DU CHAPITRE « PERDIGUERA - Ire PARTIE »
pp. 285-287 : NOTES DU CHAPITRE « PERDIGUERA - IIe PARTIE »
pp. 289-297 et 301 : NOTES DU CHAPITRE « ARRIVÉE DE PABLO »
p. 303 : NOTES DU CHAPITRE « BARCELONE »
pp. 305-307 : NOTES DU CHAPITRE « DURRUTI, ASCASO ET LES AUTRES »
pp. 309-313 : NOTES DU CHAPITRE « BERNERI »
pp. 315-329 : NOTES DU CHAPITRE « LA SIERRA D’ALCUBIERRE »
pp. 331-333 : NOTES DU CHAPITRE « LA NIÑA »
pp. 335-339 : NOTES DU CHAPITRE « SIÉTAMO »
pp. 341-347 : NOTES DU CHAPITRE « ATTAQUE »
pp. 351-385 : NOTES DU CHAPITRE « SARIÑENA »
pp. 387-401 : NOTES DU CHAPITRE « BARCELONE : MAI 1937 »
pp. 403-409 : NOTES DU CHAPITRE « SOLEDAD »
pp. 411-415 : NOTES DU CHAPITRE « QUINTO DE EBRO »
pp. 417-421 : NOTES DU CHAPITRE « SACRIFIÉS »
pp. 423-431 : NOTES DU CHAPITRE « LA MORT DE ROSARIO »
pp. 433-439 : NOTES DU CHAPITRE « MÉPRIS MILITAIRE DE LA VIE HUMAINE »
p. 441 : NOTES DU CHAPITRE « THÉORIES »
p. 443 : NOTES DU CHAPITRE « DÉMOBILISÉ »