Cette année le 12ème festival de bandes dessinées se déroulera à la maternité Suisse d’Elne autour de la thématique
Exil et Guerre d’Espagne
Les 22 et 23 février 2014
Différents auteurs et dessinateurs invités viendront de Catalogne, du Pays
Basque, d’Espagne et de France afin de présenter leurs différentes BD autour de cette thématique.
Seront présents :
– KIM et Antonio ALTARRIBA pour L’Art de voler ed. Denoel
– KIM pour Martinez el facha ed. El jueves
– INAKET et BEGONA pour Tristes cendres ed. Cambourakis et El pico de los - cuervos Ed. Cambourakis
– BRUNO LOTH pour la série Ermo ed. Libre d’image
– JEAN MARIE MINGUEZ pour Exil ed. Vents d’ouest
Durant tout le mois de février autour du thème de la Retirada
En hommage au 75 ans de la Retirada, la librairie Torcatis mettra en avant durant tout le mois de février la mémoire des vaincus dans la guerre et l’après-guerre civile espagnole.
• Le Mercredi 5 Février à 18H30 Médiathèque d’Elne
Vernissage de l’exposition "Ermo dans la révolution" par Bruno Loth.
Dédicace de BD
• Le vendredi 7 Février à 18H Librairie Torcatis
Rencontre avec VICTOR DEL ARBOL, ALFONS CERVERA et GILDAS GIRODEAU
• Le 8 Février au matin ces auteurs seront présents à la bibliothèque de Bouleternère et en soirée à Collioure chez Itaca (domaine La tour vieille)
• Le vendredi 14 Février à 18H Librairie Torcatis
Rencontre avec DAVID M. THOMAS
• Le samedi 15 Février à 10H10
L’auteur sera présent à la Médiathèque de Perpignan pour un petit déjeuner littéraire
• Le Samedi 22 Février et le Dimanche 23 Février
Maternité Suisse d’Elne
de 14H à 18H FESTIVAL DE BANDES DESSINEES
Avec Antonio Altarriba , KIM, Bruno Loth, Inaket, Begona et JM Minguez
Tout le mois de Février 2eme étage de la Librairie Torcatis
Exposition de Frédérique Berlic autour de son livre Retirada Février 1939 la Cerdagne se souvient.
• Mercredi 5 Février Médiathèque Elne
Exposition "Ermo dans la révolution" en présence de Bruno Loth qui dédicacera ses albums.
Avec cette exposition, le public découvre non seulement une bande dessinée, mais un moment de l’histoire espagnole, moment tragique dont les plaies ne sont toujours pas refermées aujourd’hui : la guerre d’Espagne.
Le visiteur est plongé dans l’ambiance d’une époque, 1936, pleine d’espoir. Mais le déroulement des évènements en a décidé autrement. L’utopie d’une société plus juste dans laquelle l’homme était libre a fait place à la guerre, à l’horreur, au mépris ; le fascime l’a emporté et, pour beaucoup d’espagnols, après le combat, ce fût l’exode ou la mort. Il s’en est suivi trente années de dictature.
Les divers panneaux retracent les differents thèmes abordés dans le BD et sont entourés de planches originales. C’est donc une exposition historique et documentaire qui garde un aspect ludique et artistique par l’apport des planches de Bruno Loth ainsi que des personnages de la série "ERMO" grandeur nature.
Bruno Loth est dessinateur et scénariste français de bandes dessinées né en 1960 à Bordeaux. A partir de 2006 il se consacre à une histoire qui lui tient à coeur, celle d’Ermo, qui raconte la vie d’un enfant et d’un petit cirque dans les pas de la colonne Durruti pendant la guerre civile espagnole. En France la série compte 6 volumes, elle sera éditée en Espagne sous forme de trilogie.
• Le vendredi 7 Février à 18H Librairie Torcatis
Rencontre avec VICTOR DEL ARBOL, ALFONS CERVERA et GILDAS GIRODEAU
• Le 8 Février au matin ces auteurs seront présents à la bibliothèque de Bouleternère et en soirée à Collioure chez Itaca (domaine La tour vieille)
VICTOR DEL ARBOL
Victor del Árbol est né à Barcelone en 1968. Après avoir étudié l’Histoire, il travaille dans les services de police de la communauté autonome de Catalogne. Il est l’auteur de deux romans.
La maison des chagrins • Éditions Actes Sud 2013
Une violoniste virtuose commande à un peintre brisé le portrait du magnat des finances qui a tué son fils. Elle veut déchiffrer sur son visage la marque de lassassin. Pour cautériser ses propres blessures, elle ouvre grand la porte de la maison des chagrins dont personne ne sort indemne. Un thriller viscéral qui conduit chaque être vers ses confins les plus obscurs. Par l’auteur de La Tristesse du samouraï (Prix du Polar Européen 2012 du Point et finaliste du prix polar SNCF 2013), déjà vendu à plus de 76 000 exemplaires en France.
La tristesse du samourai (Prix Le Point Du Polar Européen) • Éditions Actes Sud 2011
Mise élégante et port altier, une femme arpente les quais de la gare de Mérida au petit matin. Des passagers apeurés n’osent croire que la guerre est finie, mais Isabel fait partie de la caste des vainqueurs et n’a rien à redouter des phalangistes arrogants qui battent le pavé en ce rude hiver 1941. Elle presse la main de son plus jeune fils et écrit à l’aîné, qu’elle s’apprête à abandonner, les raisons de sa fuite. Le train pour Lisbonne partira sans elle. L’enfant rentre seul chez son père, obnubilé par le sabre qu’un homme vient de lui promettre. Il n’est encore qu’un petit garçon vulnérable, très attaché à sa mère. Et Isabel disparaît pour toujours. Des années plus tard, une avocate envoie sous les verrous un inspecteur jugé coupable d’une bavure policière. Évidences et preuves s’amoncellent : la joute est trop aisée et la victoire trop belle. María vient d’ouvrir une effroyable boîte de Pandore, libé rant quatre décennies de fureur, de vengeance et de haine dont elle ignore tout et qui pourtant coulent dans ses veines. De l’après-guerre espagnol à la tentative de coup d’État de février 1981, la saga familiale abonde en complots, enlèvements et trahisons qui marquent trois générations au fer rouge. Un instituteur de village s’est épris d’une femme trop grande pour ses rêves. Faute originelle qui a transformé les enfants en psychopathes, les victimes en bourreaux, le code d’honneur des samouraïs en un pitoyable massacre. Se jouant à merveille d’un contexte historique opaque, La Tristesse du Samouraï est un intense thriller psychologique qui mène les personnages aux limites de leurs forces pour briser la transmission héréditaire d’un péché mortel.
ALFONS CERVERA
Alfons Cervera est journaliste, universitaire responsable du Fórum de debates à l’université de Valencia, mais surtout écrivain, de langue castillane. Poète reconnu autant que journaliste attendu ses chroniques de presse modèlent l’opinion c’est surtout comme romancier qu’il s’est fait un nom, avec une première de textes publiés à partir de 1984 et, en particulier : son cycle romanesque que la critique espagnole tient pour les plus achevés du paysage littéraire consacré à la mémoire des vaincus. Un premier ouvrage, Maquis, a été traduit en français par Georges Tyras pour les éditions La Fosse aux Ours en 2010. C’est en bonne entente que La Contre Allée et La Fosse aux Ours mènent ce travail de traduction de l’œuvre de l’auteur.
La couleur du crépuscule • Éditions LA Fosse Aux Ours 2012
La Couleur du crépuscule a pour cadre le petit village rural de Los Yesares, situé dans la zone montagneuse de la province de Valence, et met en scène une femme de cinquante ans, Sunta, qui est sur le point de se marier et a donc décidé, avant de changer de vie, de consigner dans un cahier d’écolier les souvenirs de son existence. Ce que le récit recrée, au gré de la plume malhabile et touchante de Sunta, ce sont les aléas du quotidien - rencontres, amours, naissances, morts, luttes, souffrances, privations - tels que les racontent les habitants du village, au long d’une période douloureuse qui plonge ses racines dans le franquisme triomphant d’après la guerre civile espagnole. Que les choses soient vues à travers le regard innocent de la Sunta enfant ou depuis la perspective nostalgique de l’adulte qu’elle est devenue, ce qui importe est de redonner vie, par la magie du souvenir et de l’écriture, aux êtres qui ont participé à une histoire à la fois personnelle et collective, et puis en ont inexorablement disparu.
Maquis • Éditions la Fosse Aux Ours, 2010
Maquis est la chronique d’un village de la province de Valence durant les premières années d’après la guerre civile. Il reste encore des poches de résistance au pouvoir. Des soldats égarés, qui ne peuvent rentrer au village, sont traqués comme des bêtes. C’est une époque très dure pour les vaincus, humiliés et maltraités, par les vainqueurs.
GILDAS GIRODEAU
Né à Collioure en 1953, passionné de voile et breveté de la Marine marchande, Gildas Girodeau a contracté très jeune sa passion pour l’écriture. Militant catalan, il puise les sources de son inspiration dans le bouillonnement politique et culturel, des années 70 tout particulièrement, lors de ses rencontres et de ses voyages nombreux. Auteur de polars et d’Heroïc Fantasy, La Paix plus que la vérité est son sixième roman.
La paix plus que la vérité • Éditions Au-dela Du Raisonnable 2012
Yarnald Colom est journaliste et écrivain. Lorsqu’il accepte l’invitation de Valentí à faire une conférence sur ses polars devant la communauté catalane de Marseille, il ne peut pas imaginer les suites de sa rencontre avec le vieil homme qui, à la fin de son court séjour, lui remet une lettre. Alors, de l’exécution de Puig Antich en 1974 en passant par le coup d’État aux Cortes en 1981 jusqu’aux exhumations de fosses communes en 2000, Yarnald va replonger dans la haine et le remugle de la guerre civile espagnole. Cette lettre, écrite en 1977, le conduira à enquêter sur la mort d’un dignitaire franquiste. Mais, dans l’Espagne de l’après-Franco, la démocratie est longtemps restée fragile, et les précautions prises pour la protéger ont jeté de nombreux voiles sur les secrets du passé. Dans sa quête, fuyant la perspective d’un avenir solitaire, Yarnald va rencontrer deux femmes, qui chacune à leur manière, lui indiqueront les chemins de la paix et la place de la vérité.
• Le vendredi 14 Février à 18H Librairie Torcatis
Rencontre avec DAVID M. THOMAS.
• Le samedi 15 Février
L’auteur sera présent à la Médiathèque de Perpignan pour un petit déjeuner littéraire à 10H10.
DAVID M. THOMAS est un auteur gallois, né en Angleterre en 1959, fils d’ouvrier. Il a été partie prenante de la grande grève des mineurs britanniques dans les années 80. Il écrit en français et vit à Limoges.
UN PLAT DE SANG ANDALOU • Éditions Quidam
Au fin fond de l’Andalousie, une petite ville portuaire oubliée du monde est sur le point de faire la une de la presse internationale. Il y aura des morts et des blessés. Des protestations et des déclarations pieuses aussi. Puis Almeria retombera dans l’oubli, la guerre civile espagnole se joue ailleurs : à Valence ou à Barcelone comme à Londres, paris et Moscou. Le fils de docker londonien enseveli sous les bombes, l’Allemand antifasciste déserteur de la Luftwaffe, la guerrillera réfugiée de Malaga, le soldat italien promis à un sort des plus atroces et le chef charismatique d’une ville incontrôlable qui ne se laissera pas désarmer, tous seront oubliés. Qu’importe. Barcelone tombera, Madrid tombera, mais les petites gens d’Almeria résisteront jusqu’au bout. Un plat de sang andalou est le premier roman d’une trilogie qui retrace la terrible iliade des républicains espagnols, de la guerre civile à la défaire, des camps de la mort nazis à la longue et impitoyable dictature du général Franco.
NOS YEUX MAUDITS • Éditions Quidam
Dans la vitrine de cette boulangerie du Salzkammergut, tu te regardes et vois un petit homme abjecte et risible qui croit pouvoir déjouer le Reich et s’évertue à être tout sauf un combattant antifasciste. Ta brigade ? Deux hommes et une femme contre l’univers - barbelés, croix gammée, talons claqués - de millions de soldats, policiers, mouchards, SS. Trois contre une machine d’extermination colossale, et le camp de concentration de Mauthausen : mille fois mille enfers. Marco y est. Il a fait la guerre d’Espagne avec toi. Tu veux le sauver, non ? Lui qui incarne tout ce qui est beau chez l’homme. Tournant le dos à l’Irlande et son exil, vous êtes donc partis. Sans imaginer que ce qui vous attendait ici était l’indicible. L’innommable. Après Un plat de sang andalou, David M. Thomas nous livre un deuxième roman lumineux, scrupuleusement fidèle au cadre historique, qui sonde l’épisode le plus sombre de l’Iliade des républicains espagnols. L’auteur Gallois né en Angleterre en 1959, David M. Thomas écrit en français et vit à Limoges. Il est fils d’ouvrier et a été partie prenante de la grande grève des mineurs britanniques dans les années 80. Extraits : « Ils sont tout blêmes, les autres, le regard rivé sur quelque chose derrière moi. Je me retourne lentement, vois un homme, si c’est un homme, sa tête hideusement gonflée, presque noire, faisant corps avec sa poitrine, ses bras tendus derrière lui, ses poignets attachés par une corde à un grand anneau de fer dans le mur. Tout son être suspendu sur la pointe des pieds. L’estrapade. Hardes brunâtres. Des gouttes rouges éclaboussent les dalles. Il sue le sang de tout son corps. On est au jardin de Gethsémanie. Il vit encore. Impossible de dire son âge. Donne-lui de l’eau, détache-le, fais quelque chose, mais non, tu ne peux pas. Tu dois devenir témoin et complice des souffrances de cet homme qui a un prénom à la place de son matricule, à la place de son triangle bleu, qui retrouve en ce moment le visage de sa mère toute jeune et l’odeur des oliveraies. »
• Le Samedi 22 Février et le Dimanche 23 Février
Maternité Suisse d’Elne
de 14H à 18H FESTIVAL DE BANDES DESSINEES
Avec Antonio Altarriba , KIM, Bruno Loth, Inaket, Begona et JM Minguez
Iñaket
Né à Bilbao en 1965, Iñaket travaille depuis 1995 dans l’illustration et l’animation, pour la télévision ou le cinéma. Après avoir travaillé pendant trois ans pour le studio Mariscal à Barcelone et a réalisé un album de bande dessinée pour enfants.
Avec M Begona il réalise Tristes cendres et El pico de los cuervos
Mikel Begoña
Mikel Begoña est né à Bilbao en 1964. Entre 2004 et 2008, il a écrit des scénarios pour l’illustrateur argentin Ricardo Sendra. Il a obtenu pour ces derniers divers prix, tels que le prix Kokoe organisé par la municipalité d’Elgoibar en 2005 et le prix Ganorabako attribué par la municipalité de Basauri en 2006. En 2007, à l’occasion du 70e anniversaire de la bataille de Matxitxako, il a publié à compte d’auteur « Mar de Plomo », en castillan et en basque. Cette oeuvre lui a permis de conjuguer ses deux passions : la bande dessinée et l’Histoire. Il collabore avec l’illustrateur basque Iñaket depuis 2008.
Tristes cendres ed. Cambourakis 2011
El pico de los cuervos matar a franco ed. Norma 2013
Parution en français prévue pour janvier 2014
Bruno Loth a travaillé plusieurs années dans la pub. avant de se lancer dans la bande dessinée.
Ne trouvant pas assez vite d’éditeur il créé sa propre maison d’éditions "libre d’images", pour publier la serie "ERMO", inspirée des recits de la guerre d’Espagne que lui raconta son beau père Francisco Ferrer. Le magicien, barricades, une nuit en Aragon, mujeres libres, cazrgo pour Barcelone 2013, constituent la série des 6 volumes publiés de 2006 à 2013.
Une nouvelle série est créée en 2010 où Bruno Loth raconte la vie de son père au travers de la BD "Apprenti" fresque sociale du front populaire 1936 puis avec la BD "Ouvrier" qui se déroule durant la 2e guerre mondiale, édités chez ed. boite à bulles.
ANTONIO ALTARRIBA
est né en 1952 à Saragosse. Ecrivain scénariste, professeur de littérature française à l’université du pays Basque, il se passionne pour les aspects visuels de l’écriture et les possibités narratives de l’image . Il est aussi l’auteur d’un roman érotique : "merveilles au pays des Alice" et de "tintin et le lotus rose" qui a provoqué un joli tollé.
La BD "L’art de voler"est née d’un fait réel : le suicide d’un homme de 90 ans qui s’élance du 4e étage de sa maison de retraite pour enfin voler librement (son rêve).
Antonio Altarriba raconte l’histoire de son père traversant le XXe siècle de l’Espagne, avec la chute de la monarchie, la seconde république, la guerre civile, la dictature de Franco, l’exode, la 2e guerre mondiale, et son exil intérieur ...et ne renoncera jamais jusqu’à l’heure ultime à voler sur les ailes de la justice et de la liberté.
KIM
kim, pseudo de "Joaquim Aubert Puigarnau" né à Barcelona en 1941, a été influencé par la bd américaine "underground"
En 1977 il entame une collaboration avec l’hebdo satirique "el jueves"avec "martinez el facha" qui est une critique du phalangisme dans la société espagnole franquiste et post franquiste. Son illustration de "l’art de voler" avec un scénario signé par Antonio Altarriba décroche en 2010 le prix du salon de bd de Barcelona, dans les 3 catégories meilleur scénario, dessin et ouvrage.
L’art de Voler aux éditions Denoel, BD Graphique, 2011
Jean-Marie MINGUEZ est né en 1977 à Perpignan. Ses premières BD, ce sont de vieux Strange empruntés à son frère aîné lorsqu’il avait une dizaine d’année. Mais l’effet est instantané, les gros balèzes aux couleurs « flashy » l’inspirent et ses cahiers de lycéen s’en souviennent. Pas une page n’est épargnée et les personnages anonymes qui naissent sous son coup de crayon participent activement à sa formation de dessinateur autodidacte.
"Mais comment se fait-il que vous soyez venus en france ?
C’est la question apparament anodine que j’avais posée à ma grand-mère Josefa, à la fin d’un repas tout aussi anodin. Et c’est ainsi qu’elle me raconta l’épopée incroyable de mon grand-père durant la guerre civile espagnole et de leur arrivée en france 25 ans plus tard. Sous mes yeux ébahis se déroulait l’histoire de ma petite famille dans la grande histoire d’Espagne...Voici donc le destin romancé de Francisci Parilla et de josefa Almenara Barrasa, qui aurait put être celui d’un des quelques 500 000 républicains espagnols de la Retirada..."
Tout le mois de Février 2ème étage de la Librairie Torcatis
Exposition de Frédérique Berlic autour de son livre
"Retirada Février 1939 la Cerdagne se souvient"
Frédérique Berlic est journaliste à l’Indépendant. Depuis 2006, elle a collationné près de 150 photos de la Retirada en Cerdagne, effectuées pour la plupart à l’arrivée des Républicains sur le sol français.