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Les Gimenologues
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Ortiz Général sans dieu ni maître
de José Manuel Márquez Rodríguez et Juan José Gallardo Romero

Lancement d’une souscription…
… jusqu’au 15 janvier 2020. Parution mi-janvier 2020
En souscription 18 € • Prix public à parution 22 €

à paraître aux Éditions du Coquelicot
publications libertaires de Toulouse… et du reste du monde !

J. J. Gallardo et J. M. Márquez essaient de clarifier, sans préjugés ni tabous, la trajectoire et la conduite d’un militant anarchiste célèbre, Antonio Ortiz, de son enfance et sa jeunesse jusqu’à son exil au Venezuela.
L’intérêt de ce livre, déjà considérable en tant que biographie de ce personnage, est accru par l’investigation historique menée sur la vie intense d’Ortiz - il fut secrétaire du Syndicat du Bois de Barcelone, membre des cadres de défense de Poble Nou et du groupe Nosotros, chef de colonne d’abord et de division ensuite sur le front d’Aragon, accusé de vol et de trahison, victime d’une tentative d’assassinat, combattant avec les troupes alliées pendant la Seconde Guerre mondiale, acteur d’un attentat raté contre Franco.
Les auteurs abordent et analysent une série d’événements et de problématiques plus générales qui ont bouleversé le déroulement de la guerre et de la révolution. Ils touchent aussi bien le rôle de la CNT-FAI, du Parti communiste et d’autres organisations pendant cette période, ainsi que la bureaucratisation, les tensions et affrontements qui se produisirent au sein de la CNT.

Quelqu’un a dit :

« Que meurent ceux que l’on oublie, pas les autres ». C’est ainsi qu’Ortiz est mort, oublié. J’ai appris sa mort le 18 juin dernier, en arrivant à Barcelone, et pourtant Ortiz était mort le 2 avril. Je n’ai rien lu dans aucun de nos journaux. Il semblerait qu’Ortiz est de ceux qui meurent parce qu’on les oublie […]. Je me suis lancé à griffonner ces quelques lignes pour protester contre l’oubli et l’abandon de tous ces camarades qui ont tant rehaussé le prestige de la CNT, alors qu’on en idéalise d’autres qui furent grands, très grands, et qui de leur vivant n’auraient pas accepté un tel hommage.
Toi Ortiz et les autres, nous sommes nombreux ceux qui ne vous oublierons pas.

Antonio Zapata, Toulouse Juillet 1996

editionsducoquelicot.jimdofree.comeditionsducoquelicot.jimdofree.com

Voir en outre le film en français avec le même titre

http://gimenologues.org/spip.php?article673

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